lundi 10 novembre 2008

SURVEILLANCE DE LA COUR DE RÉCRÉATION

De nombreux parents nous rapportent que les enfants se plaignent de violence dans la cour de récréation.

En réalité, une seule personne surveille la cour à chaque récréation, maître ou maîtresse, et une ASEM se trouve à l'entrée des toilettes pour les enfants qui voudraient y aller.

Extrait du texte officiel à ce sujet :
"Le nombre de personnes chargées d'assurer la surveillance doit tenir compte en particulier de l'importance des effectifs et de la configuration des lieux. C'est au directeur qu'il incombe de veiller à la bonne organisation générale du service de surveillance des récréations qui est assuré par roulement par les maîtres.
Il est rappelé que le Conseil d'École a compétence pour émettre des avis et présenter des suggestions en matière de protection et de sécurité des enfants dans le cadre scolaire et périscolaire conformément au décret n° 90-788 du 6 septembre 1990. Par conséquent, cette question peut être abordée lors de ces réunions."

Nous avons l'intention de demander à ce qu'une deuxième personne soit chargée de la surveillance de la cour. Merci de nous faire part de vos remarques d'ici le Conseil d'École.

3 commentaires:

  1. Ce serait déjà un progrès s'il y avait un surveillant qui surveillait réellement !
    Aujourd'hui en déposant mon fils à 13h45 j'ai vu un de ses amis se faire tabasser par deux autres enfants au milieu de la cour : il n'y avait absolument aucun surveillant en vue sauf l'ASEM qui n'a pas bougé. Et ce n'est pas la première fois, loin de là.
    Il faut absolument faire évoluer cette situation

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  2. Au Conseil d'École du 13 novembre, les parents élus FCPE ont demandé que la surveillance de la cour soit assurée par deux enseignants.
    Les enseignants ont rappelé qu’à l’heure actuelle il y a :
    • Un enseignant qui surveille
    • Un enseignant dans la salle des maitres pour soigner
    • Un ASEM à l’entrée des toilettes

    Ils considèrent que ce dispositif est suffisant.

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  3. En effet, ce dispositif serait peut-être suffisant s'il était respecté. Peut-être faudrait-il leur mettre de nouveau la pression afin que le problème soit solutionné une fois pour toute.

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